Le pape est parti, et maintenant ? que devrions-nous faire? Qui est le responsable ?
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Le pape François fut le dernier pour beaucoup, et une fois de plus ils se rendent compte que seul Dieu connaît le jour et l'heure...Le Saint-Père a achevé son pèlerinage à travers ce monde à l’âge de 88 ans. Et il l’a fait de la meilleure façon possible, en travaillant, en bénissant et en priant pour la paix du monde.Nous sommes tristes et heureux, mais surtout heureux parce qu'il est rentré chez Dieu, il est allé profiter de la présence éternelle de Dieu. ❤️Et maintenant ?N’ayez pas peur, ne tombez pas dans le pessimisme ou la négativité. N’oubliez pas que tout ce qui vous enlève votre paix NE vient PAS de Dieu. Ayez confiance en la Divine Providence. Ne doutez pas du nouveau Pierre qui viendra, et ne commencez pas à l’étiqueter ou à le placer à un extrême, à le qualifier ou à le juger. Le berger qui viendra sera celui qu’il doit être, et comme tous les autres, il fera de son mieux pour nous guider et nous conduire au ciel.Ayez confiance en Dieu, remerciez pour la vie de Francisco et priez. Priez maintenant pour le conclave, pour tous les cardinaux, pour la présence du Saint-Esprit parmi eux, et pour notre Église, catholique, apostolique et romaine. Que le Saint-Esprit souffle, renouvelle le cœur de nous tous et renouvelle la face de la terre.L'évêque de Rome nous a quittés, mais un autre viendra, choisi parmi les cardinaux de moins de 80 ans dans la célèbre Chapelle Sixtine. Le conclave doit commencer dans un délai de 15 jours, renouvelable jusqu'à 20 jours. Les cardinaux resteront pendant le conclave à la Maison Sainte-Marthe (Vatican), se réuniront, célébreront l'Eucharistie, prieront et, dans les plus strictes mesures de confidentialité, voteront (aux yeux de Dieu) pour le successeur de notre bien-aimé François, qui devra avoir les deux tiers des voix pour être élu. Une fois choisi, le nouveau pape doit accepter et décider le nom qu'il souhaite porter durant son pontificat.Durant le conclave, le cardinal doyen ou camerlingue, le père irlandais Kevin Farrell, sera à la tête de l'Église, mais Sa Sainteté François du ciel, aux côtés de saint Joseph, continuera à veiller et à protéger l'Église jusqu'à ce que nous entendions l'Habemus Papam !En attendant, faites votre deuil, suivez son enterrement à la Basilique Papale de Sainte-Marie-Majeure, priez pour le nouveau Vicaire du Christ, pour votre Évêque, le curé de votre quartier, et continuez vos projets de célébrer le Jubilé, de vous confesser et de visiter le Saint-Sacrement (vous LUI manquez).Ne vous inquiétez pas, ne doutez pas, ne dites pas : j'espère que soit un bon..., j'espère que soit un pasteur comme celui-ci ou celui-là. Dans quelques semaines, si Dieu le veut, nous verrons la fumée blanche !MERCI, PAPE FRANÇOIS, de nous avoir appris à plaire le Seigneur et de nous avoir préparés à notre rencontre avec Lui.Fundación AMEN Digital
PAROLES DU SAINT PAPE
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Comme il est beau de penser que la première apparition du Ressuscité — selon les Evangiles — a eu lieu d’une manière aussi personnelle! Il y a quelqu’un qui nous connaît, qui voit notre souffrance et notre déception, et qui s’émeut pour nous et nous appelle par notre nom. C’est une loi que nous trouvons gravée dans beaucoup de pages de l’Evangile. Autour de Jésus se trouvent de nombreuses personnes qui cherchent Dieu; mais la réalité la plus prodigieuse est que, bien avant, c’est tout d’abord Dieu qui se préoccupe pour notre vie, qui veut la relever, et pour ce faire, il nous appelle par notre nom, en reconnaissant le visage personnel de chacun. [...] Les Évangiles nous décrivent le bonheur de Marie: la résurrection de Jésus n’est pas une joie donnée au compte-goutte, mais une cascade qui renverse toute la vie. L’existence chrétienne n’est pas tissée de doux bonheurs, mais de vagues qui emportent tout. Essayez de penser vous aussi, en cet instant, avec le bagage de déceptions, et d’échecs que chacun de nous porte dans son cœur, qu’il y a un Dieu proche de nous qui nous appelle par notre nom et nous dit: «Relève-toi, arrête de pleurer, car je suis venu te libérer!» (Audience générale, 17 mai 2017)